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Sites à utiliser ... sans retenue

Corinne Lepage présente sa campagne présidentielle et ses propositions sur le site www.corinnelepage.fr et a créé aussi le site "à vos droits citoyens" avec 10 propositions mises en débat pour renouveler notre constitution et donc le fonctionnement de notre démocratie www.avosdroitscitoyens.fr

Le site sur les gaz non conventionnels et les risques liés à leur exploitation créé par CAP21 : http://deleaudanslegaz.com

15 janvier 2009 4 15 /01 /janvier /2009 08:22

CAP21 vient de ratifier ce manifeste :

Pour une croissance durable et solidaire au service d’une richesse partagée (résumé) :

Alors que l’heure est à la réforme du système financier international et aux plans de relance économique dans l’Union européenne pour remédier aux conséquences économiques et sociales inquiétantes de la crise actuelle, il est essentiel de s’attaquer aux maux profonds du système économique en vigueur.
Le Manifeste européen « Pour une croissance durable et solidaire au service d’une richesse partagée » avance douze propositions pour bâtir une croissance européenne durable et solidaire. Un nouveau modèle de croissance qui défend l’intérêt général européen et dans lequel la cohésion sociale est un moteur essentiel est proposé. Ce modèle repose, en plus d’une réglementation financière stricte, sur une économie plurielle soucieuse de développement économique, de progrès social et de qualité environnementale.


1. Obliger les marchés financiers à servir l'économie réelle
Contrôler, réguler et créer un gouvernement économique européen

2. Reconstruire les bases de l'économie réelle
Développer une économie verte, sociale et solidaire au service de l'intérêt général

3. Relancer de manière durable la production et la consommation
Viser une croissance saine et durable, créatrice de bien-être social et de revenus décents

4. Faire de la cohésion sociale le moteur de la croissance
Placer la cohésion sociale comme objectif et non comme conséquence de la croissance

5. Favoriser les investissements publics pour une économie verte, créatrice d'emplois
Investir dans les secteurs prioritaires du logement, de l'alimentation et du transport

6. Promouvoir la recherche et l'innovation
Impulser une révolution environnementale et créer un réseau européen
d'excellence

7. Soutenir le capital social et humain
Encourager le secteur de l'économie sociale, revaloriser la santé et l’éducation

8. Imposer des emplois de qualité pour relancer la productivité et la consommation
Soutenir les petites et moyennes entreprises, valoriser la diversité

9. Appliquer une fiscalité juste
Redistribuer de manière juste les richesses.

10. Promouvoir un développement territorial environnemental, social et solidaire
Favoriser la participation citoyenne

11. Collaborer avec les pays émergents et en développement
Investir dans des projets environnementaux et de solidarité

12. Soutenir les finances solidaires
Favoriser l’épargne solidaire, les investissements socialement responsables et les fonds de pension durables

Nous invitons les responsables politiques, économiques et sociaux à signer ce manifeste pour partager avec nous ce projet d’une croissance durable et solidaire.

 

Voir le texte complet

 

Ce manifeste est à l'initiative du Think tank européen "Fondation pour la solidarité" :


Think tank européen Pour la Solidarité
Rue Coenraets, 66
B-1060 Bruxelles
Belgique

Tél. : +32.2.535.06.63
Fax : +32.2.539.13.04

 

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4 décembre 2008 4 04 /12 /décembre /2008 21:04

Le plan de relance présenté par Nicolas Sarkozy corrige la mauvaise politique budgétaire menée jusqu’ici par le gouvernement. Mais il n’a rien d’extraordinaire : les 26 milliards d’euros annoncés représentent 0,7 % du PIB par an, à comparer avec les 2,5 % du plan de relance américain.

Nicolas Sarkozy a solennellement présenté le 4 décembre son plan de relance de l'économie française à Douai, ville symbole des difficultés actuelles de la branche automobile (voir ici). Un plan que le président a voulu « ambitieux, audacieux et imaginatif ». Malgré les superlatifs qui ont entouré sa sortie, ce plan reste en réalité d'une ampleur limitée, notamment quand on le compare aux mesures déjà mises en œuvre aux Etats-Unis ou préparées pour 2009 par Barack Obama. Il vient toutefois corriger, et c'était plus que nécessaire, la politique budgétaire restrictive que constituaient les budgets 2009 de l'Etat et de la Sécurité sociale tels qu'ils ont été présentés et discutés au Parlement. 

Depuis deux mois, nous vivions en effet une situation surréaliste. Lors de son discours de Toulon, le 25 septembre dernier, Nicolas Sarkozy avait – à juste titre – souligné l'ampleur de la crise financière et de ses conséquences prévisibles sur l'économie réelle : « dire la vérité aux Français, c'est leur dire que la crise actuelle aura des conséquences dans les mois qui viennent sur la croissance, sur le chômage, sur le pouvoir d'achat », rappelait-il. Pourtant le lendemain même de ce discours, le gouvernement présentait un budget de rigueur pour 2009, avec des dépenses publiques en baisse, une fois l'inflation déduite, et même des budgets de l'emploi et du logement en baisse tout court, en valeur nominale. Et dans le même temps, ce budget prévoyait la hausse de différents prélèvements. Même chose quelques jours plus tard pour le budget de la Sécurité sociale.


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28 novembre 2008 5 28 /11 /novembre /2008 08:26

A la veille du sommet de Poznan sur le climat, une étude du WWF France soutient que réduire de 30% les émissions de CO2, par rapport à 1990, induirait la création nette de 684 000 emplois en France. Un argument contre les pays qui mettent en avant la crise pour contester les ambitions européennes.

Alors que certains pays membres comme l’Italie remettent en cause l’objectif minimum de l’Union Européenne de baisser de 20% les émissions de gaz à effet de serre d’ici 2020, le WWF France publie une étude montrant l’intérêt économique et social de poursuivre ces objectifs. Selon cette étude, qui se base sur d’autres analyses internationales, européennes et nationales, la France gagnerait au moins 684 000 emplois avec une économie génèrant 30% de gaz à effet de serre de moins qu’en 1990.
L’étude se veut exhaustive : elle prend en compte l’ensemble des secteurs d’activités et inclut la destruction d’emplois dans les secteurs en décroissance  (activités relatives aux produits pétroliers, charbon, gaz, électricité, ainsi que construction automobile et commerce automobile), mais aussi les destructions ou créations d’emplois induits par l’impact sur le pouvoir d’achat des ménages.


L’efficacité énergétique recrute
Ce sont les dépenses faites pour atteindre l’efficacité énergétique qui génèrent le plus d’emplois (564 000). Par exemple, les nouvelles lignes de transport ferroviaire vont créer des emplois dans les infrastructures, la construction de matériel ferroviaire et dans l’exploitation des lignes. Des emplois indirects seront également créés dans la chaîne de fournisseurs de ces secteurs (sidérurgie, métaux non ferreux…). Le secteur des énergies renouvelables créerait à lui seul plus d’emplois (316 000) que ceux détruits dans les filières énergétiques classiques (138 000) et automobiles (107 000).

D’autre part, l’étude du WWF émet l’hypothèse d’un baril de pétrole à 100 $ en 2020. Le scénario énergétique retenu (celui de NégaWatt, voir encadré) entraînerait donc une économie pour les ménages, synonyme de pouvoir d’achat. D’où un gain supplémentaire de 48 000 emplois (467 000 si le baril est à 150$).


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NdlR : Cette étude rejoint les analyses et conclusions déjà avancées en leur temps par le groupe  animé par Corinne Lepage qui a publié Ecoresp2, pour un new deal ecologique, Atelier de Presse, 2006. CAP21 a rappelé régulièrement depuis l'existence de ce gisement d'emploi important.

Celà nous incite à nous poser aussi la question de la campagne orchestrée actuellement contre l'implantation d'éoliennes sur le territoire français par plusieurs groupes d'acteurs proches du lobby nucléaire.

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22 novembre 2008 6 22 /11 /novembre /2008 08:00

Elles sont plus de 600, emploient directement 15 000 personnes pour 3 milliards d'euros de volume d'affaires en région. Une véritable industrie.

La DRIRE Nord-Pas de Calais publie avec les branches professionnelles, les entreprises et surtout avec le Cd2E (Création et développement des éco-entreprises, basé à Loos-en-Gohelle) une intéressante étude sur cette nouvelle composante, très active, de l'économie régionale. « On ne voyait avant les marchés de l'environnement que par le prisme des pollutions, explique Christian Traisnel, directeur du Cd2E à Loos-en-Gohelle.


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Voir le rapport sur les éco-entreprises de la DRIRE Nord-Pas de Calais



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2 novembre 2008 7 02 /11 /novembre /2008 21:39

Le projet Futurol a officiellement vu le jour en septembre, à Paris. D'un montant de 74 millions d'euros, il doit permettre la commercialisation d'un bioéthanol de deuxième génération, moins gourmand au plan agricole, à l'horizon 2015. Deux grandes entreprises nordistes font partie de l'aventure.

L'éthanol a été fortement décrié. On lui a imputé la faim dans le monde, la monoculture intensive, la hausse du prix des matières premières. On lui a donc reproché de faire pire que mieux.

 

Alors que le transport représente 50 % de la consommation de pétrole, le bioéthanol de deuxième génération doit permettre de réduire les émissions de gaz à effet de serre et la dépendance aux énergies fossiles, sachant qu'il faut encore aujourd'hui dépenser un litre de pétrole pour produire un litre d'éthanol.
« Bon espoir »
Le projet Futurol sera porté par une dizaine de partenaires, dont Lesaffre, leader mondial de la levure de panification (Marcq-en-Baroeul) et Téréos, leader dans les sucreries (Lille).

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28 octobre 2008 2 28 /10 /octobre /2008 07:39
Crise financière : il y a plan et plan

Les banques britanniques ont dû accepter des conditions très strictes pour bénéficier des fonds publics, tandis qu'en France, l'Etat offre les mêmes garanties sans guère de contreparties réelles. Sa seule demande : un nouveau code de conduite qui risque d’être aussi inefficace que ses prédécesseurs.

Lors du sommet de la zone euro du 12 octobre dernier, les chefs d'Etat et de gouvernement se sont mis d'accord pour présenter, de façon coordonnée, des plans nationaux de sauvetage des banques inspirés de celui présenté auparavant par Gordon Brown au Royaume-Uni. Tous ces plans suivent donc les mêmes principes : recapitalisation des banques et garantie publique du crédit interbancaire. Ils diffèrent cependant significativement dans le détail de leur mise en œuvre et ces différences sont instructives.

Quand on compare notamment le plan anglais, qui a servi de modèle, et son équivalent français, on se rend compte que le gouvernement britannique s'est montré nettement plus exigeant vis-à-vis des banquiers que le gouvernement français dont les aides n'impliquent guère de contreparties significatives.

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Voir aussi l'article "Rémunérations des dirigeants : un énième code de conduite"






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25 octobre 2008 6 25 /10 /octobre /2008 10:50

« Riches et presque décomplexés», le nouveau livre de Jacques Cotta est une enquête sur l'état d'esprit des « riches » en France. Un livre politique qui décrit la violence ressentie par la France qui travaille, flouée par le président.

Après une immersion dans le monde des travailleurs pauvres, le journaliste Jacques Cotta s'est plongé dans l'univers des Riches et presque décomplexés (Fayard). Une enquête qui démarre du côté de Courtrai, à la frontière franco-belge, à l'occasion d'un salon des millionnaires : « On peut y acheter des îles, des maisons dans l'eau à Dubaï ou, pour rester raisonnable, une villa à Marbella pour un prix de base à trois millions d'euros. Ils sont 9,5 millions à posséder plus que le million de dollars sur la planète, 389 000 dans l'hexagone. Mais dans leur monde, sur leur planète, ces mêmes fortunés font dans la démesure. Ils s'affirment, se confient, veulent prouver que sur leur terrain, celui de la richesse, rien ni personne ne peut leur résister».

Pourtant, tout ne va pas pour le mieux dans le meilleur des mondes des riches. La crise ? Ce n'est pas le problème essentiel. Si le livre a été rédigé avant la crise financière, Jacques Cotta explique que « Les crises qui défrayent la chronique, boursières, sociales, économiques, ne semblent pas vraiment les affecter ».

Bref, ces gens là, vont plutôt bien. Merci pour eux. Mais, un problème les tracasse quand même. Presque d'ordre psychologique. En fait, confrontés parfois à la réalité, nos riches seraient presque complexés d'être riches, et entonnent un discours gêné.

C'est vrai : comment vivre sereinement dans le stupre, la luxure, la débauche avec cette réalité de misère qui revient par la fenêtre quand on la fout à la porte? Encore la faute à ces salauds de pauvres !

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NdlR Journaliste, Jacques COTTA a collaboré à Radio France, à divers supports de presse écrite ainsi qu’à plusieurs émissions de télévision (Droit de réponse, Envoyé spécial...). Réalisateur de nombreux films d’investigation, dont "Front national : la nébuleuse" récompensé par un 7 d’Or, il est actuellement en charge de la série de documentaires Dans le secret de... sur France 2.


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20 octobre 2008 1 20 /10 /octobre /2008 08:36
En couronnant Paul Krugman du prix d'économie 2008, les jurés de la banque de Suède soulignent que c'est la « gouvernance » du système économique qui pose actuellement le plus problème. Pour Krugman, en effet, l'économie doit s'intéresser aux exclus, et pas seulement aux gagnants et aux propriétaires du capital. Ce qui ne l'empêche pas de s'inscrire dans la lignée des néoclassiques.

Le dernier livre de Paul Krugman, traduit en français sous le titre L'Amérique que nous voulons (éd. Flammarion, 2008), est paru aux Etats-Unis sous le titre The Conscience of a Liberal. Attention aux faux amis : dans le contexte américain, « liberal » signifie davantage « gauchiste » - partisan de l'intervention publique et pas seulement au moment des crises - que partisan du laisser faire. Pourtant, cette étiquette presque sulfureuse outre-Atlantique, et qu'il revendique fièrement, Paul Krugman ne la porte que depuis une dizaine d'années, depuis qu'il écrit des articles au vitriol dans le New York Times pour dénoncer la politique économique américaine menée sous l'inspiration républicaine (1), et l'aggravation considérable des inégalités de revenus qui en résulte. S'il est parvenu à devenir éditorialiste dans le plus important des quotidiens américains, il le doit à son talent, pas à ses opinions politiques.

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NdlR.  Paul Krugman a d'abord suivi des études d'histoire à l'Université Yale ou il a obtenu un BA en 1974, puis au Massachusetts Institute of Technology (MIT), où il a obtenu son doctorat d'économie (PhD) en 1977 sous la direction de Jagdish Bhagwati[1]. Après avoir enseigné au MIT (1984-1994), à Stanford University (1994-1996), à Yale et à la London School of Economics, il est aujourd'hui professeur d’économie et de relations internationales à l’université de Princeton. Paul Krugman est connu pour ses critiques contre la politique générale et économique de l'administration de George W Bush.

Néo-keynésien, il est un des principaux auteurs de la nouvelle théorie du commerce international[2], qui repose sur le commerce intra-firme et intra-industrie, les effets de réseau, et les situations de concurrence imparfaite. En 1991, il reçoit la médaille John Bates Clark de l’American Economic Association (attribuée tous les deux ans à un économiste de moins de 40 ans ayant apporté une contribution substantielle aux sciences économiques) et en 2008, le « prix Nobel » d'économie. Il est co-auteur avec Maurice Obstfeld de International Economics: Theory and Policy, le livre de cours le plus utilisé dans ce domaine aux États-Unis, ainsi que d'une vingtaine d'autres ouvrages.

Krugman s'est fait connaître du grand public par ses ouvrages de vulgarisation publiés depuis la fin des années 1980, où il s'attaque entre autres aux contre-sens économiques colportés par les think tanks, et grâce à son anticipation de la crise asiatique de 1997[3]. Il est devenu réellement célèbre depuis son entrée au New York Times, dans lequel il écrit un éditorial deux fois par semaine ; il s'y est illustré comme l'un des critiques les plus virulents de George W. Bush et de la "grande divergence"[4], l'accroissement des inégalités des revenus et des fortunes. Paul Krugmann vient d'être couronné par l'académie nobel (2008) pour ses travaux sur le commerce international en concurrence imparfaite et en économie géographique.

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10 octobre 2008 5 10 /10 /octobre /2008 14:11

La crise financière qui se déroule sous nos yeux a d'ores et déjà été qualifiée d'« historique » : si ses mécanismes sont classiques, son ampleur est inédite, et ses conséquences sont très difficiles à prévoir. Retour sur les événements qui ont secoué la finance mondiale.

Après l'effondrement des Bourses, lundi 6 octobre 2008, la crise financière a franchi un nouveau cap.

Face à une telle panique, l'épargne des ménages est-elle menacée ?

Que peuvent faire les Etats et l'Europe pour redresser la barre ?

A qui profite cette crise ?
 

NdlR Christian Chavagneux est rédacteur en chef adjoint d’Alternatives Economiques et rédacteur en chef de la revue L’Economie politique. Auparavant, il a travaillé comme chargé de mission à l’ex Commissariat général du Plan, comme économiste à la Société Générale et comme chargé d’études à l’Agence Française de Développement. Il a enseigné plusieurs années à Sciences Po et à l’Université Paris IX Dauphine.

 


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1 octobre 2008 3 01 /10 /octobre /2008 08:00

Jeudi soir à Toulon, le Président a plaidé en faveur d'une régularisation de la mondialisation financière. Mais les mesures préconisées sont-elles à la hauteur des enjeux ? L'analyse de Guillaume Duval, rédacteur en chef d'Alternatives Economiques.

 

 

NdlR Guillaume Duval est rédacteur en chef d'Alternatives Economiques. Ingénieur, il a travaillé auparavant durant treize ans au sein de différentes entreprises multinationales.

 

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Partenariats

CAP21 Nord Pas-de-Calais participe aux collectifs  régionaux :

- Sortir du Nucléaire,

- Contre l'exploitation des gaz de couche.

  • A Lille au Collectif "Place aux piétons et pour la mobilité douce"  pour une piétonnisation de la Grand Place de Lille dans un contexte de mobilité incitant à l'utilisation de transports doux (marche, vélo,...).
  • A Lesquin au Collectif "Lesquin Objectif 0,6" dans le cadre d'un combat des habitants pour une meilleure protection vis à vis des ondes électromagnétiques.

 

Lecture recommandée

CAP21 NORD PAS DE CALAIS vous incite à lire ces revues de grande qualité :

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Alternatives Economiques