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Revue de presse

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Sites à utiliser ... sans retenue

Corinne Lepage présente sa campagne présidentielle et ses propositions sur le site www.corinnelepage.fr et a créé aussi le site "à vos droits citoyens" avec 10 propositions mises en débat pour renouveler notre constitution et donc le fonctionnement de notre démocratie www.avosdroitscitoyens.fr

Le site sur les gaz non conventionnels et les risques liés à leur exploitation créé par CAP21 : http://deleaudanslegaz.com

30 août 2011 2 30 /08 /août /2011 08:44

Supermarche.jpgParmi les mesures adoptées par la loi du 12 juillet 2010 dite loi Grenelle 2, nous nous réjouissions de la disposition prévoyant l’obligation pour la grande distribution de mettre en place dès le 1er juillet 2011 des plateformes de déballage où les consommateurs pourraient laisser les suremballages et emballages des produits qu’ils viennent d’acheter (établissements de plus de 2500 m2). Cette mesure permettait en effet de responsabiliser producteurs et distributeurs sur l’inutilité de certains conditionnements et de ne pas faire supporter le coût de la collecte et du traitement à la collectivité.

Malheureusement, les consommateurs doivent bien constater l’absence de la mise en place de ces plateformes de récupération dans la très grande majorité des hypermarchés alors que la rentrée scolaire s’annonce et avec elle l’achat de nombreux biens de consommation.

Eric Delhaye, président délégué de CAP21 et par ailleurs vice-président d’un syndicat départemental de traitement de déchets ménagers, s’interroge sur cette inertie bien comprise des grandes enseignes françaises et de leur manque d’engagement en matière de responsabilité environnementale dès lors qu'il faut accorder les actes aux discours et respecter la loi : « la Fédération du commerce et de la distribution, par la voix de son Président, Jérôme Bédier, s’était déjà mobilisée contre cette disposition lors de la discussion de la loi et avait obtenu le relèvement du seuil de 500 à 2500 m2. A défaut d’en avoir obtenu l’abandon, la grande distribution fait désormais obstruction à la loi. Nous souhaitons que Nathalie Kosciusko-Morizet fasse un rappel à la loi auprès des enseignes et que des sanctions soient appliquées en cas de non respect. »

Eric Delhaye
Président délégué de CAP21

Dominique Lemoine
Porte-parole de CAP21

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12 mai 2009 2 12 /05 /mai /2009 09:34

L'OBSERVATEUR DE BEAUVAIS


Corinne LEPAGE développe lors d'une interview son hostilité à l'incinération des  déchets pour des raisons sanitaires, écologiques et économiques. Ce n'est pas une solution durable pour les villes et communautés urbaines ... C'est une solution qui reste "de facilité" malgré les progrès réalisés dans les technologies de procédé des derniers incinérateurs installés. M.E.



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23 avril 2009 4 23 /04 /avril /2009 07:00
ACTU ENVIRONNEMENT

La pollution des mers par les macro déchets est difficile à évaluer. Détritus sur les plages, déchets flottants et décharges sous marines sont pourtant une réalité. Le Grenelle de la Mer devrait aboutir en mai à des recommandations sur ce sujet.

On connaît le drame des marées noires. Mais une pollution plus insidieuse impacte depuis des années les milieux marins : les déchets. En effet, la mer a longtemps servi de poubelle mondiale (déchets en mer, épaves coulées, munitions immergées…), sans qu’aucune réglementation ne vienne encadrer ces pratiques. Le Grenelle de la Mer, initié en décembre 2008, a créé un groupe de travail dédié à cette problématique déchets. Parmi, les dossiers prioritaires, celui des macro déchets. C’est un problème sociétal, qui concerne tout le monde. Ce n’est pas une problématique locale, explique François Galgani, chercheur à l’Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer (Ifremer), qui participe au comité opérationnel Déchets. La partie la plus visible de cette pollution est constatée chaque année au travers des plages souillées et des campagnes de nettoyage. Mais ce problème est beaucoup plus vaste et surtout beaucoup plus complexe à résoudre. Si pour l’homme, cette pollution est avant tout visuelle, les grands organismes marins sont victimes d'étouffement à la suite d’ingestions. Les planctons seraient également impactés par la présence de micro déchets (micro plastiques, plastiques en décomposition…).


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22 octobre 2008 3 22 /10 /octobre /2008 08:00

CAP21 dénonce l'action des lobbies pour favoriser le développement de l'incinération en France et manifeste son opposition la plus vive à la modification de l'article 41 du projet de loi Grenelle 1 adopté en première lecture par les députés. Cet article indique en effet que le »traitement des déchets résiduels doit être réalisé prioritairement par la valorisation énergétique « , autrement dit par l'incinération.

Pour Eric Delhaye, président délégué de CAP21 et vice-président du syndicat départemental de traitement des déchets de l'Aisne, cette rédaction est à mettre en parallèle avec les modifications qui vont intervenir sur la Taxe Générale sur les Activités Polluantes. En effet, alors que l'Etat prévoit de quadrupler la TGAP sur la tonne de déchets enfouie d'ici 2015 pour la mettre à 40 euros la tonne, il créé une TGAP sur les incinérateurs dont le montant sera porté à un montant variant de 5 euros à 8 euros la tonne incinérée d'ici 2011 soit à un niveau considérablement inférieur à celui de l'enfouissement. Comment ne pas y voir à nouveau un encouragement fort à l'incinération ?

Rappelons que Corinne Lepage avait lancé un appel pour un avenir sans incinérateurs en 2005 face à la gravité des innombrables problèmes sanitaires, environnementaux et socio-économiques, posés par les dioxines furanes et autres substances toxiques de synthèse résultant de la combustion industrielle des déchets ménagers. Cette pétition avait notamment reçu le soutien des professeurs Jean-Marie Pelt et Dominique Belpomme et recueilli près de 10 000 signatures. CAP21 espère que la poursuite du débat au Sénat et la 2ème lecture permettront de revoir la rédaction finale du texte.

Eric Delhaye.


NdlR : CAP21 Nord-Pas de Calais rappelle, à cette occasion, sa position d'opposition  au projet d'incinérateur FLAMOVAL qui doit être installé près de Saint Omer. M.E.

Voir notre article déjà publié à ce sujet


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22 septembre 2008 1 22 /09 /septembre /2008 08:00

Paiement des déchets au poids, taxes écologiques… La loi de finances 2009, soumise au Parlement, entend s’attaquer au problème des déchets. Mais comment vivre sans, telle est la question.

A force d’entasser les kilos, le surpoids devient un problème et le régime minceur s’impose. Ce diagnostic santé s’applique à… nos poubelles qui ont doublé de volume en quarante ans. Et les bonnes résolutions ont obtenu jusqu’ici des succès très mitigés : les efforts pour gagner quelques kilos ont été submergés par l’explosion de nouveaux déchets.

À la suite du Grenelle de l’environnement, le gouvernement a décidé de commencer à frapper au porte-monnaie pour enrayer l’inflation des poubelles. Le projet de loi de finances 2009, qui sera prochainement présenté en conseil des ministres, devrait comporter une taxe, improprement appelée « taxe pique-nique », s’appliquant aux produits fortement générateurs de déchets tels que les vaisselles, briquets et rasoirs jetables ou les lingettes.

Pour favoriser le recyclage, l’incinération ne sera plus exemptée de taxe et la mise en décharge sera surtaxée. Enfin, les collectivités locales auront la possibilité de faire payer les poubelles au poids. Le fruit de ces taxes devrait être en partie dédié à la prévention pour réduire les déchets à la source.
...

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24 février 2008 7 24 /02 /février /2008 11:09
Stocks historiques de pneus usagés : tout va enfin disparaître !
undefinedPollution visuelle, risque pour la santé mais aussi pour notre environnement... Tels sont les dangers que représente l’existence massive des stocks de pneumatiques usagés. Face à cette situation, un accord sur la base du volontariat sera signé le 20 février 2008 par les principaux acteurs du secteur et Nathalie Kosciusko-Morizet. Les vieux pneus sont dans le collimateur en France !


Voir la suite du communiqué

 

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24 mars 2006 5 24 /03 /mars /2006 08:52

Le Conseil des ministres a examiné mercredi un projet de loi sur la gestion des déchets nucléaires qui ouvre la voie à l'ouverture en 2025, probablement à Bure (Meuse), d'un centre de stockage en profondeur, au grand dam des écologistes.
Le texte, qui sera défendu à partir du 6 avril au Parlement par le ministre délégué à l'Industrie François Loos, ambitionne d'apporter une "solution sûre et de très long terme" au problème des déchets de l'industrie nucléaire.
Selon le Commissariat à l'énergie atomique (CEA), celle-ci produit chaque année 3.000 mètres cube de déchets à vie longue, qui resteront radioactifs pour certains pendant plusieurs centaines de milliers d'années. A l'heure actuelle, ces déchets sont entreposés dans des installations de surface, qui n'ont pas été conçues pour les stocker définitivement.
A l'issue de 15 années d'études prévues par la loi Bataille de 1991, le gouvernement opte avec ce projet de loi pour le stockage des plus dangereux de ces déchets en "couche géologique profonde".
Alors que des recherches en ce sens sont déjà menées sur le site de Bure, le texte accorde "quelques années" à l'Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (ANDRA) pour "sélectionner un site et achever les études de conception". "Un dossier de demande de création devrait être instruit à l'horizon 2015, en vue d'une mise en exploitation de l'installation à l'horizon 2025", peut-on lire dans l'exposé des motifs.
Le stockage sera autorisé après avis de l'Autorité de sûreté nucléaire, débat et enquêtes publics et avis des collectivités locales concernées. "Pour le gouvernement, c'est une question de responsabilité: notre génération (...) a le devoir de définir des solutions sûres et de long terme pour tous les déchets radioactifs", a souligné mercredi François Loos.
Le projet de loi prévoit toutefois que ce stockage devra obligatoirement être "réversible" pendant au moins cent ans. Il s'agit de "laisser aux générations futures une liberté de décision quant à leur choix de gestion, et notamment de fermeture" du centre, selon le texte.
Parallèlement, le gouvernement entend poursuivre les recherches sur la "transmutation", qui permet de réduire la toxicité et la durée de vie des déchets nucléaires. Il s'agit toutefois d'un "objectif de plus long terme", puisque cela suppose le développement de réacteurs nucléaires de nouvelle génération, a souligné M. Loos. "Un prototype sera mis en service vers 2020", a-t-il précisé.
Le projet de loi confirme par ailleurs l'interdiction de stocker définitivement en France des déchets étrangers, mais organise tout de même l'industrie de leur retraitement sur le territoire français.
Les substances radioactives envoyées par des pays étrangers pour retraitement ou pour la recherche pourront ainsi être stockées en France pour une "durée limitée" qui sera fixée par des accords intergouvernementaux.
Deux taxes versées par les exploitants d'installations nucléaires sont aussi instaurées pour financer les recherches sur la gestion des déchets radioactifs et le développement économique des départements qui accueilleront les sites de stockage. Les industriels du nucléaire, au premier rang desquels EDF, ont par ailleurs obligation de constituer des provisions dès aujourd'hui pour financer dans l'avenir la gestion de leurs déchets.
Le porte-parole du mouvement écologiste CAP 21, Eric Delhaye, a dénoncé mercredi dans un communiqué "un projet dangereux et inacceptable", en soulignant "l'absence de données scientifiques éprouvées pour garantir la faisabilité, la pérennité, l'absence d'impact ou la réversibilité" de l'enfouissement des déchets en couche profonde "à l'échelle de dizaines de milliers d'années". Par ailleurs, ce texte "ouvre les portes de la France et surtout de la COGEMA aux déchets nucléaires étrangers".
Le texte "confirme et légifère le statut de poubelle nucléaire internationale de la France", s'indigne aussi Frédéric Marillier, chargé du nucléaire à Greenpeace France, dans un communiqué commun de Greenpeace, de la Coordination nationale des collectifs contre l'Enfouissement des déchets radioactifs, du Réseau Sortir du Nucléaire, de Agir pour l'Environnement, des Amis de la Terre et de la Confédération Paysanne.

( Source: Nouvel Obs )

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13 septembre 2005 2 13 /09 /septembre /2005 00:00
A l’appel des coordinations nationales des Elus et des Collectifs opposés à l’enfouissement des déchets radioactifs, des Collectifs Bure-Stop, du Réseau “Sortir du nucléaire” (Fédération de 700 associations) Avec le soutien de plusieurs centaines d’organisations et associations françaises et européennes dont ACDN, Biocoop, CAP 21, Chiche, Collectif “L’EPR, non merci”, Confédération paysanne, Fac Verte, Greenpeace, LCR, Les Amis de la Terre, Les Verts, MAN, Nature et Progrès...


VENEZ MANIFESTER à BAR-LE-DUC

préfecture de la Meuse, près de Bure,

possible poubelle nucléaire de la France et de l’Europe.


Samedi 24 septembre 2005 à 13 h
RV Parking du Hall des Expositions (ex. "Halle des Brasseries")


préfecture de la Meuse, près de Bure,possible poubelle nucléaire de la France et de l’Europe.RV Parking du Hall des Expositions (ex. "Halle des Brasseries")
Apportez :
un sac de terre et une pancarte de votre région qui seront déposés devant la Préfecture,

un bâillon, symbole de la société civile bâillonnée.


40 ANS DE NUCLEAIRE

200 000 ANS ET PLUS DE DECHETS RADIOACTIFS !


Les industriels du nucléaire et les autorités ne savent comment supprimer les déchets radioactifs qu'ils ont produits et ne cessent de produire. Alors ils veulent les enfouir sous terre, comme des malpropres camouflent la poussière sous le tapis. Véritable crime contre les générations actuelles et futures !
Uranium, plutonium, américium, neptunium, strontium…sont des radioéléments extrêmement dangereux produits par le nucléaire civil et militaire.

Que menacent-ils ? LA VIE, tout simplement ! La radioactivité attaque l’ADN des cellules, provoquant des cancers, leucémies, maladies cardiovasculaires… et, pire que tout, la dégénérescence de notre descendance : voir les enfants monstrueux de Tchernobyl, de l’Afghanistan, de l’Irak (bombardés à l’« Uranium Appauvri »)…

Début 2006, les parlementaires seront invités à choisir l'enfouissement alors que des experts internationaux et indépendants jugent l'état des recherches insuffisant. Nulle part au monde, on ne sait quoi faire de ces déchets !

S'ils sont enfouis - à Bure ou ailleurs - les déchets nucléaires resteront dangereux pour des millénaires (plutonium : 200 000 ans de vie ; uranium : 3 milliards d’années de demi-vie). La radioactivité contaminera les nappes phréatiques et la chaîne du vivant.

Alors que faire ?

garder sous surveillance les déchets existants là où ils sont produits ;
économiser l'énergie et fermer au plus vite les centrales nucléaires en recourant à d’autres sources d’énergie ;
cesser de fabriquer des armes atomiques.


NI A BURE, NI AILLEURS,

LA TERRE NE DOIT ETRE EMPOISONNEE POUR L’ETERNITE



Ne laissons pas faire ce type de crime nouveau et inconnu.


Départ groupé de Lille, le samedi 24, devant la MNE - Pour réserver, merci de prendre contact avec Gildas de l'association EDA au 03.20.52.12.02 (accueil MNE) ou sur le site internet http://www.eda-lille.org
 
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27 juin 2005 1 27 /06 /juin /2005 00:00



Corinne LEPAGE
ancien Ministre, présidente de CAP 21, Dany DIETMANN, Professeur de Sciences de la Vie de la Terre, Maire de Manspach 68, Dominique BELPOMME , Cancérologue, Président de l’ARTAC, Jean-Marie PELT, Professeur, Président de l’Institut Européen d’Ecologie, Michèle RIVASI, ancienne Députée, cofondatrice d’Ovale, Maurice SARAZIN, ingénieur en ensembles industriels, Gilles-Eric SERALINI, Professeur de biologie moléculaire, Président du Comité Scientifique du Crii-gen, François VEILLERETTE, Président du MDRGF, Jean REYNAUD, Docteur en géographie/rudologie lancent une pétition nationale « APPEL POUR UN AVENIR SANS INCINERATEURS » en demandant à l’Etat de changer radicalement de stratégie en matière de gestion des déchets.
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13 mars 2005 7 13 /03 /mars /2005 00:00
Notre mouvement, Cap21, préconise le ZERO DECHETS comme choix de société. Aussi semble-t-il important de faire connaître les alternatives au « 100% jetable » lorsqu’elles existent.

Un chapitre croustillant du déchet dans la puériculture concerne les couches. Jusqu’à l’âge de la propreté, situé en moyenne à 30 mois (2 ans et demi), le bébé sera changé 5 fois par jour pendant 912 jours… Chaque enfant est donc changé 4500 fois depuis sa naissance jusqu’à la propreté.
Dans la société de sur-consommation actuelle, on utilise les couches jetables dont certaines sont suspectées d’être toxiques (présence de TBT). En jetant 4500 fois la couche de bébé, nous générons tout de même 1200 kilos de déchets… Nous qui sommes des adultes, nous produisons déjà 400 kilos par an. Le bébé, rien qu’avec ses couches jetables, produit 500 kilos d’ordures par an!

Nous avons recherché d’autres solutions. Les enseignes dites « spécialistes » nous ont répondu qu’il n’existe rien que d’autre que les couches jetables à part les langes de nos mères et grands-mères. Ces « spécialistes » sont Natalys, Bébé 9, Aubert, Autour de Bébé, New baby.

Sur Internet, nous avons découvert l’existence de couches lavables nouvelle génération, elles existent depuis 4 ou 5 ans. Elles se présentent comme les couches jetables. Elles sont fabriquées essentiellement en Autriche, en Grande Bretagne et en Allemagne. Les états-uniens aussi en proposent quelques unes. Sur une quinzaine de marques, une seule est française et apparemment encore jeune au vu de son maigre catalogue…

Curieu ....et en plus ...... ça marche fort bien. C’est simple d’usage, ça se lave facilement à la main ou à la machine. La plupart des couches lavables sont faites avec des matières naturelles (100% coton ou laine bio) parfois complétées de polyester ou de polaire. Bref…
- c’est bon pour l’enfant (hypo allergique pour la peau et ça ne contient pas de plastiques)
- ça produit ZERO DECHETS puisque les couches se lavent et que les popos du bébé partent dans les toilettes,
- et en plus ça permet des économies conséquentes par rapport aux couches jetables (de 100 à 600 euros dès le premier bébé, et on peut les ré-utiliser pour les deux enfants suivants)

PROJECTION NATIONALE… POUR VOIR

Il y a environ 650.00 naissance par an, donc la population française de moins de deux ans et demi est d’environ 2,5 x 650.000, soit 1million 625.000 bébés. A raison de 500 kilos de couches jetées par bébé et par an, ça représente :
1.625.000 x 500 = 812.500.000 kilos ou encore 812.500 tonnes par an!!!

Dans une stratégie ZERO DECHETS, le chapitre Couches de Bébé permettrait d’éviter chaque année 812.500 tonnes de déchets !!! Soit, chaque année l’équivalent de 80 Tours Eiffel (10.000 tonnes) ou trois viaducs de Millau (290.000 tonnes)!
Si en plus on se souvient que le retraitement d’une tonne de déchets ordinaires est facturée entre 15 et 50 euros… l’économie d’impôts est de 12 à 40 millions d’euros !
Alors à quand des mesures incitatives pour les couches hi-tech ?

Si les politiques prennent quelques mesures d’information et d’incitation, les bébés ZERO DECHETS c’est possible dès aujourd’hui…
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Partenariats

CAP21 Nord Pas-de-Calais participe aux collectifs  régionaux :

- Sortir du Nucléaire,

- Contre l'exploitation des gaz de couche.

  • A Lille au Collectif "Place aux piétons et pour la mobilité douce"  pour une piétonnisation de la Grand Place de Lille dans un contexte de mobilité incitant à l'utilisation de transports doux (marche, vélo,...).
  • A Lesquin au Collectif "Lesquin Objectif 0,6" dans le cadre d'un combat des habitants pour une meilleure protection vis à vis des ondes électromagnétiques.

 

Lecture recommandée

CAP21 NORD PAS DE CALAIS vous incite à lire ces revues de grande qualité :

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Alternatives Economiques