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Revue de presse

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Sites à utiliser ... sans retenue

Corinne Lepage présente sa campagne présidentielle et ses propositions sur le site www.corinnelepage.fr et a créé aussi le site "à vos droits citoyens" avec 10 propositions mises en débat pour renouveler notre constitution et donc le fonctionnement de notre démocratie www.avosdroitscitoyens.fr

Le site sur les gaz non conventionnels et les risques liés à leur exploitation créé par CAP21 : http://deleaudanslegaz.com

26 mai 2009 2 26 /05 /mai /2009 08:08

Norexpo organise l’édition 2009 du salon ENVIRONORD à côté de l’ADEME, de la DRIRE et du Conseil Régional Nord-Pas de Calais. Ce salon professionnel sur l’environnement dédié aux entreprises et aux collectivités locales vise à faciliter la rencontre entre l’offre et la demande en éco-produits, éco-technologies, et éco-services. Il se tiendra les 10, 11 et 12 juin 2009 à Lille Grand Palais.
 

Il réunit chaque année plus de 130 exposants, 4000 visiteurs. En parallèle au salon, les 10 et 11 Juin 2009 se tiendra le congrès « Eco-technologies pour le futur ». Celui-ci permettra aux participants de comprendre et d’anticiper les mutations qu’engendreront les éco-technologies dans le secteur de l’environnement à partir d’expériences remarquables menées en région Nord-Pas de Calais, en France et en Europe.


Les thématiques abordées pour cette année 2009 seront les bâtiments basses consommation d’énergie, les énergies marines, les sites – sols -sédiments pollués, le stockage des énergies renouvelables, la santé et l’environnement, l’analyse de cycle de vie dans le secteur du recyclage. En fin de congrès, quelques visites d’entreprises remarquables seront également prévues pour illustrer les avancées régionales en matière d’environnement.

 

Voir le site ENVIRONORD

 

… deux jours pour faire le point des éco-technologies qui préparent l’avenir…

Les éco technologies deviennent une préoccupation majeure des instances nationales et internationales.

Permettant de traiter et corriger les impacts des activités humaines et industrielles sur l’environnement, elles seront à l’origine de nouveaux métiers et de nouvelles activités économiques. Elles vont aussi modifier sensiblement notre futur, non seulement parce qu’elles ont atteint des niveaux de maturité suffisants et deviennent accessibles, ou parce qu’elles laissent entrevoir des solutions nouvelles à moyen terme, mais aussi parce qu’elles doivent être intégrées de façon globale par toutes les parties prenantes.
Pour informer et accompagner les collectivités territoriales, les entreprises, et les centres de recherche sur ces principales évolutions, la région Nord-Pas de Calais, ses partenaires et les 500 éco-entreprises de son territoire, organisent un congrès de deux jours. Au travers d’échanges, de témoignages, et de la mise en valeur d’expériences remarquables menées en France et en Europe, le congrès européen des éco technologies pour le futur est destiné à anticiper ces développements et comprendre ces mutations fondamentales. »

Voir le site du congrès "Eco-technologies pour le futur"

Voir le programme détaillé du congrès

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18 avril 2009 6 18 /04 /avril /2009 09:50

Depuis longtemps les riverains de la Friche PCUK, à Wattrelos, s’inquiètent des risques que cette immense friche industrielle pourrait générer pour leur environnement et peut-être même pour leur santé. Les plus inquiets sont sans doute les habitants du secteur desservi par les Rues Berthelot, Gabriel Péri et Mendès-France, ce secteur se trouve en effet à proximité immédiate des deux terrils de résidus chromés, un grand et un petit, qu’on appelle les Monts Kuhlmann.

Ces deux terrils constituent sans doute la principale (mais pas la seule hélas !) source de pollution de la friche (sans doute aussi la plus dangereuse, le chrome étant un métal très toxique). C’est par la nappe d’eau sous-jacente que la pollution chromée risque de se diffuser à leur périphérie. Cette nappe est dite superficielle car on la trouve sous les deux monts à environ 1 mètre de profondeur (parfois moins) par rapport au terrain naturel d’origine.

Dans les années 90, pour empêcher qu’elle soit contaminée par infiltration d’eaux pluviales chargées de chrome, on a recouvert les deux terrils d’une géomembrane bitumineuse. Malheureusement, avec le temps, cette géomembrane s’est en partie désagrégée, les eaux pluviales peuvent donc s’infiltrer à la faveur des fissures qui se sont créées et contaminer la nappe par lessivage des résidus chromés.

Cette nappe repose sur une épaisse couche géologique d’argile (Yprésienne) qui empêche toute migration de la pollution chromée vers les nappes plus profondes (notamment vers la nappe du Carbonifère exploitée par le forage du Beck tout proche). C’est la bonne nouvelle. Malheureusement il y en a aussi une mauvaise, en effet comme la nappe est constamment alimentée par le haut et qu’elle ne peut rien relarguer vers le bas, elle doit forcément s’étaler horizontalement autour des deux terrils. C’est la seule hypothèse logique.

En réalité, cette hypothèse est déjà vérifiée, tout au moins en partie, on sait en effet, grâce au réseau de surveillance piézométrique existant sur le site, qu’un panache de pollution chromée se diffuse à partir des monts progressivement vers le sud, c’est-à-dire vers la partie plate de la friche. C’est un fait constaté.

Par contre, on ne sait pas ce qui se passe ce qui se passe de l’autre coté, c’est-à-dire vers le nord, pour la simple raison que, sauf erreur, aucun piézomètre n’a été implanté (hors site) en bordure nord de la friche, mais il est permis de supposer que la pollution chromée se propage également de ce coté-là,

c’est-à-dire vers les maisons et les jardins situés en contrebas des monts (Rue Berthelot en particulier). 

Il serait évidemment souhaitable que, dans les meilleurs délais, cette hypothèse soit vérifiée (ou invalidée…) par un contrôle systématique de la qualité des eaux superficielles dans le secteur exposé. Il serait tout aussi souhaitable que soient effectuées sans tarder des analyses des sols des jardins, notamment des jardins familiaux de la Rue Berthelot. On ne peut évidemment pas présumer des résultats (positifs ou négatifs) de telles investigations mais on ne peut certainement pas contester la nécessité de les réaliser sans attendre (d’autant moins que des puits ont été creusés dans plusieurs de ces jardin et que certains de ces puits ont été utilisés pour arroser les cultures !).

Dernière interrogation : on aimerait avoir quelques informations, si possible avant Janvier 2015 (date de prescription !), sur l’expérimentation par RHODIA (héritière de cette partie de la friche) d’un process américain qui consiste à injecter de la mélasse dans les terrils de chrome afin de transformer le Chrome 6 en Chrome 3 moins dangereux ( ?) parce que moins soluble.

On voit bien que les riverains ont beaucoup de raisons de s’inquiéter. Il est grand temps que les élus concernés répondent à leur inquiétude en leur apportant (enfin !) toute les informations auxquelles ils ont droit. B.T.

 

 

Voir plan d'ensemble du site


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15 avril 2009 3 15 /04 /avril /2009 07:00
LIBERATION

Depuis hier après-midi, les ports de Boulogne-sur-Mer, Calais et Dunkerque sont totalement paralysés par les pêcheurs locaux. Ils réclament une hausse des quotas de cabillaud et de sole.

«Un blocage total et illimité, annonce Patrice Haezebrouck, vice-président du comité local des pêches et représentant de la CGT. Ça ne nous fait pas plaisir mais on n’a plus le choix.» Après une année 2008 marquée par la flambée du gazole, ce sont à nouveau les quotas européens qui sont au cœur des revendications.


«Dérisoires». Ce que réclament les pêcheurs ? De pouvoir retourner en mer. Mais leur quota de cabillaud et de sole étant atteint, toute sortie les placerait hors-la-loi, et les amendes sont salées. «Si on applique la réglementation, on ferme», résume Patrice Haezebrouck. Une centaine de bateaux sont impliqués dans le mouvement et dénoncent des quotas visant à éliminer les «petits», et à «casser la pêche artisanale» au profit de «grands trusts». «Les quotas sont dérisoires, poursuit Patrice Haezebrouck. Pour la sole, à Dunkerque, on a 133 tonnes pour 20 bateaux. Or c’est l’équivalent de la capture de trois bateaux sur l’année. Il nous faudrait au moins 600 tonnes. D’autant que le constat qu’on fait, c’est qu’il y a du poisson.» Bruno Dachicourt, secrétaire général de la CFTC marins-pêcheurs, renchérit : «Certains bateaux n’avaient qu’une tonne de cabillaud pour l’année. C’est ce qui peut être atteint en une seule sortie.»


Charles Braine, du WWF-France, tempère cette apparence d’abondance de cabillaud : «Il y a une concentration au niveau du goulet du Pas-de-Calais. Mais les études montrent qu’il s’agit d’un effet local et ponctuel, alors que la situation est globalement dramatique dans la zone Manche-Est et mer du Nord. Il faut lever un peu la tête et regarder autour ce qui se passe.» Les pêcheurs ne l’entendent pas ainsi et demandent à la France de retourner au front à Bruxelles : «On veut un quota suffisant pour qu’il soit viable pour les entreprises et pour préserver la ressource. Les pêcheurs ne veulent pas d’argent, ils veulent simplement qu’on les laisse vivre», poursuit Bruno Dachicourt.

 

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12 avril 2009 7 12 /04 /avril /2009 10:19

GECT / EGTS West‐Vlaanderen / Flandre ‐ Dunkerque ‐ Côte d'Opale

GECT = Groupement Européen de Coopération Transfrontalière

La région Dunkerque-Flandre – Côte d’Opale entérine la coopération avec ses voisins de Flandre occidentale

Le vendredi 3 avril dernier a eu lieu au Palais provincial de Bruges l'installation officielle du Groupement européen de coopération territoriale (GECT) West-Vlaanderen/Flandre-Dunkerque-Côte d’Opale. La cérémonie s'est déroulée en présence de Paul Breyne, gouverneur de Flandre-Occidentale, et de Jean-Michel Bérard, préfet de la Région Nord-Pas-de-Calais. Les ministres belges Stefaan De Clerck et Hilde Crevits étaient également présents.
Ce GECT, qui a son siège à Dunkerque, poursuit un double objectif: d'une part renforcer la coopération existante grâce à une structure transfrontalière spécifique disposant de son propre budget, d'autre part attirer l'attention des autorités européennes sur le rôle de pionnier que cette région entend exercer en matière de coopération transfrontalière. La nouvelle structure succède, en fait, à la Plate-forme West-Vlaanderen /Flandre-Dunkerque-Côte d’Opale, créée il y a quatre ans.

Elle en reprend d'ailleurs à son compte les thèmes d'action: soins de santé, mobilité, aménagement du territoire, environnement, exploitation et distribution d'eau, tourisme, culture, marché de l'emploi, développement économique, mise en valeur du caractère champêtre.

Treize pouvoirs publics et autres partenaires publics collaborent au sein de cet organe. Son assemblée générale se compose de 28 membres, et le bureau, chargé de la gestion quotidienne, en compte 16. Le maire de Dunkerque et ancien ministre Michel Delebarre a été élu président, tandis que le député de Flandre-Occidentale Jan Durnez a été choisi comme vice-président. On considère généralement que ce GECT sera à même d'oeuvrer de façon plus pragmatique que l'Eurométropole Lille-Kortrijk-Tournai. Cela semble assez logique du fait que les partenaires ne sont que deux - la Flandre-Occidentale et la Côte d’Opale -, que les populations sont sensiblement égales en nombre et qu'aucun des partenaires n'a vocation à un rôle dominant comme cela pourrait bien être le cas de Lille au sein de l'Eurométropole.


Voir le communiqué officiel sur cette création

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9 avril 2009 4 09 /04 /avril /2009 17:04

Le projet de délibération cadre sur les transports à LMCU a été remis aux élus de Lille Métropole par Eric Quiquet, Vice-Président de la Communauté Urbaine. Voici sa déclaration :

« Comme je m’y étais engagé, je vous adresse, par la présente, le projet de Délibération Cadre qui sera soumis au Conseil de Communauté du 17 Avril 2009 sous le titre “Engager la Métropole Lilloise vers la mobilité du 21ème Siècle”. »

« Lille Métropole est à une période charnière dans sa politique de déplacements. Les années 80 ont vu la réalisation du premier Métro automatique du monde à Lille, les années 90, son développement pour atteindre aujourd’hui 45 km.

Le Plan de Déplacements Urbains, adopté en juin 2000, a réorienté les efforts vers les transports publics de surface, renforçant le rôle des Bus par l’augmentation du nombre de véhicules et par la création d’une première Ligne A Haut Niveau de Service ; il a également engagé les études sur le rôle urbain du train, en particulier grâce au Tram-Train.

Les objectifs du PDU de doublement du nombre de voyages de 100 à 200 millions pour 2015 seront largement dépassés. Avec une croissance annuelle moyenne supérieure à 6%, le trafic augmente fortement et concerne l’ensemble des modes. Le risque de thrombose existe. Dans la dernière décennie, l’enjeu était d’attirer de nouveaux usagers vers les transports collectifs, aujourd’hui il s’agit d’organiser le réseau pour faire face à un nombre croissant de voyageurs. C’est un changement de paradigme complet.

Le Grand Débat organisé le 16 janvier 2009 a mis en évidence les grands enjeux de déplacements pour la Métropole, au moment où la Communauté Urbaine doit à la fois mettre à jour son PDU, lancer l’élaboration du Schéma de COhérence Territoriale (SCOT) et renouveler la Délégation de Service Public pour l’exploitation du réseau. Les principes d’actions contenus dans cette délibération visent à projeter notre réseau de transport public d’ici à 2020. Il s’agit à la fois d’anticiper le choc social de la fin du pétrole à bon marché et de prendre une part active à la lutte contre le dérèglement climatique.

Située au coeur des réseaux de communication ferrés et routiers, il revient à notre Métropole au regards de cette singularité, de fixer un cap à nos partenaires de l’Eurorégion pour construire ensemble, la mobilité d’un bassin de vie de 6 millions d’habitants qui doit s’affranchir des frontières nationales et administratives. »

 

Télécharger le document complet


Télécharger les plans en annexe du document :

Le réseau ferroviaire à Lille

Le plan des DIVAT

Les 2 axes tram-train

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18 février 2009 3 18 /02 /février /2009 07:00

Présentés au préfet de région en début de mois, ils dressent le tableau noir de la situation de l'emploi à fin janvier pour une vision comptable de la réalité des faits.

Rien ne devait filtrer de cette réunion lilloise mais nous nous sommes procuré le document. Quelques pages de la direction du travail et de l'emploi pour dire officiellement la crise au préfet, comme un point d'étape dans une année déjà douloureuse.

Les plans sociaux. - En 2008, 173 procédures de licenciements de plus de dix salariés concernent 6 058 salariés dont 643 dans l'automobile (10 plans de sauvegarde de l'emploi - PSE), 279 chez les sous-traitants de l'automobile (12), 916 dans le bâtiment-travaux publics (BTP, 46), 434 dans le textile (14). Ajoutons, pour janvier 2009, 16 procédures supplémentaires de plus de 10 salariés touchant 869 personnes, tandis que 207 salariés étaient concernés par une procédure dans des entreprises de moins de 10 salariés. Au total, 1 076 licenciements recensés dans le seul mois de janvier.


...


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Voir aussi "Un comité territorial pour soutenir les entreprises et l'emploi" 

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12 janvier 2009 1 12 /01 /janvier /2009 09:26

L'Etat, le conseil régional Nord-Pas de Calais, les conseils généraux et l'Ademe ont signé le 17 décembre une charte partenariale destinée à mettre en oeuvre un plan climat. Objectif : réduire par quatre les émissions régionales de GES d'ici 2050.

La France s'est engagée, avec les autres pays européens, à atteindre les objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) fixés dans le cadre du protocole de Kyoto. Pour la France c'est le maintien, en 2010, de ses émissions à leur niveau de 1990, soit 565 de millions de tonnes équivalent CO2 (MteCO2).


Afin d'honorer ses engagements, l'Etat a mis en œuvre un Plan Climat National, dont la validation a été effective en juillet 2004 et qui fixe des mesures en vue d'économiser 54 millions de tonnes de CO2 par an jusqu'en 2010, soit environ une tonne par habitant et par an. Ce Plan préconise également la réalisation de Plans Climat Territoriaux (PCT) à tous les échelons de l'action locale : région, département, commune et intercommunalité. Ils doivent permettre aux collectivités d'identifier sur leur territoire, les principales activités responsables d'émissions de gaz à effet de serre de façon à déployer des plans d'action en termes de réduction d'émission.


C'est dans ce cadre que la région Nord-Pas-de-Calais vient de lancer en partenariat avec l'Etat, les Conseils généraux et l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) son Plan Climat. Cette convention, associant les cinq partenaires, a été signée le 17 décembre 2008 à Lille et constitue une première en France.


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9 janvier 2009 5 09 /01 /janvier /2009 10:43

La Trame verte et bleue, ce grand projet qui lie écologie, urbanisme et agriculture dans la préservation de la biodiversité, entre dans une phase d'application. Avec comme objectif de souder une nature fragmentée et fragile.



Le Nord - Pas-de-Calais, terre de nature... ce n'est pas pour tout de suite. Car la réalité, c'est celle d'un territoire soumis aux pressions de l'urbanisation et de l'agriculture (70 % de la surface) et dont les sols et les rivières ne se sont pas encore remis d'un siècle et demi d'épopée industrielle. La région est toujours l'une des plus artificialisées de France (15 % du territoire). Le développement d'infrastructures de transport, l'étalement urbain ou l'évolution des pratiques agricoles sont autant d'éléments qui participent à l'érosion de la biodiversité.

« Des espèces disparaissent chaque année. Parmi les plus exposées, on trouve des papillons, des batraciens, des oiseaux de zones humides mais aussi des espèces autrefois courantes comme les moineaux qui sont de moins en moins nombreux », constate Jean-Louis Wattez, président de l'association Lestrem Nature qui travaile depuis plus de dix ans à l'instauration de « corridors biologiques ». Car le principal souci, c'est celui-là : la fragmentation des milieux en quelque 4 millions de morceaux, empêchant la circulation et la reproduction des espèces.

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15 novembre 2008 6 15 /11 /novembre /2008 10:57

Plusieurs ministres et secrétaires d'État européens sont actuellement réunis à Lille Grand Palais pour plancher sur le thème de « l'égalité professionnelle entre les hommes et les femmes ». L'Union européenne s'est fixée comme objectif d'atteindre 60 % de taux d'activité des femmes en 2010.

L'Européenne la plus favorisée vivrait, paraît-il, en France. Pour autant, les disparités de salaires, les difficultés d'accès aux postes hiérarchiques, le difficile équilibre entre vie professionnelle et vie familiale restent des réalités pour des millions de citoyennes. Plusieurs enjeux sont analysés par les participants européens au colloque qui se tient jusqu'à aujourd'hui à Lille.

 

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29 août 2008 5 29 /08 /août /2008 09:00

Et si Bienvenue chez les Ch'tis était un film «désastreux» pour l'image des nordistes? C'est la thèse que développe la militante socialiste Elise Ovart-Baratte, authentique Ch'ti, électron libre du PS du Nord et secrétaire de section du Vieux-Lille, dans le livre Les Ch'tis, c'était les clichés, Editions Calmann-Lévy.

On pourrait l'appeler Mademoiselle Sans-Gêne. De l'aplomb, des yeux qui n'ont pas froid, et, ces jours-ci, une petite colère, qui s'appelle Les Ch'tis, c'était les clichés, à paraître dans dix jours. Un coup de gueule contre «l'image désastreuse» que le film Bienvenue chez les Ch'tis, censé combattre les clichés sur le Nord, donne du Nord-Pas-de-Calais, selon elle. Voilà Elise Ovart-Baratte,  28 ans, socialiste, chercheur en histoire contemporaine, lobbyiste et ancienne chargée de com' de la Maire de Lille.

Coup de gueule aussi contre la subvention de 600.000 euros votée par ses camarades socialistes de la Région (et en particulier son président, Daniel Percheron) pour financer la promo d'un film qui n'en avait pas besoin.

...

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NdlR : Elise Ovart-Baratte a réalisé un mémoire de DEA sur les évolutions de l'image du Nord-Pas de Calais à l'Institut d'Etudes Politiques de Lille et prépare actuellement une thèse de Doctorat d'histoire contemporaine sur "le traitement politique des problèmes économiques et sociaux de la reconversion du Nord-Pas de Calais depuis les années 70" au sein de ce même institut.

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Partenariats

CAP21 Nord Pas-de-Calais participe aux collectifs  régionaux :

- Sortir du Nucléaire,

- Contre l'exploitation des gaz de couche.

  • A Lille au Collectif "Place aux piétons et pour la mobilité douce"  pour une piétonnisation de la Grand Place de Lille dans un contexte de mobilité incitant à l'utilisation de transports doux (marche, vélo,...).
  • A Lesquin au Collectif "Lesquin Objectif 0,6" dans le cadre d'un combat des habitants pour une meilleure protection vis à vis des ondes électromagnétiques.

 

Lecture recommandée

CAP21 NORD PAS DE CALAIS vous incite à lire ces revues de grande qualité :

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Alternatives Economiques