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Sites à utiliser ... sans retenue

Corinne Lepage présente sa campagne présidentielle et ses propositions sur le site www.corinnelepage.fr et a créé aussi le site "à vos droits citoyens" avec 10 propositions mises en débat pour renouveler notre constitution et donc le fonctionnement de notre démocratie www.avosdroitscitoyens.fr

Le site sur les gaz non conventionnels et les risques liés à leur exploitation créé par CAP21 : http://deleaudanslegaz.com

6 novembre 2010 6 06 /11 /novembre /2010 07:00

Le site Les Nouvelles News - "l'autre genre d'info" vient de publier un dossier sur le thème des indicateurs de richesse et de bien-être dont voici le sommaire :

HS_indicateur_richesse_et_bien_etre_-_couv_200x281.pngP 3 : Edito : Cap sur le bien-être

P 4/5 : Qualité de vie ou croissance à tout prix ?
Interviews de Valérie Létard, Dominique Méda, Jean Gadrey

P 6/7 : Sortir du PIB, Un enjeu de civilisation
La commission Stiglitz, le FAIR

P 8/9 : Les nouveaux indicateurs de richesse, une réalité en marche
INSEE, OCDE, Indicateurs alternatifs

P 10/11 : Le bonheur n'est pas dans le PIB
Un sondage des NOUVELLES news

P 12/13 : Quand le Nord montre la voie
Le projet indicateurs 21

P 14 : Les entreprises valent mieux que leur résultat net

P 15 : Présentation des intervenants au colloque du 4 octobre

Pour le commander http://www.lesnouvellesnews.fr/index.php/entreprendre-articles-section/37-entreprendre-categorie/694-presentation-indicateurs-de-richesse-et-bien-etre

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24 août 2010 2 24 /08 /août /2010 07:00
Stratégie nationale de DD-2020-2013La stratégie nationale de développement durable 2010-2013 a été adoptée le 27 juillet 2010 par le Comité interministériel pour le développement durable.

La stratégie nationale de développement durable propose une architecture commune à tous les acteurs de la Nation, publics et privés, pour les aider à structurer leurs propres projets de développement durable autour de choix stratégiques et d’indicateurs qui ont fait l’objet d’un large consensus. Elle a notamment vocation à assurer la cohérence et la complémentarité des engagements internationaux et européens de la France et des politiques nationales, transversales ou sectorielles.

Cette stratégie est présentée sous forme de 9 défis à affronter : la production et de la consommation durables, la société de la connaissance, la gouvernance, le changement climatique et les énergies, le transport et la mobilité durables, la conservation et la gestion durable de la biodiversité et des ressources naturelles, la santé publique, la prévention et la gestion des risques, la démographie, l'immigration et l'inclusion sociale, les défis internationaux en matière de développement durable et depauvreté dans le monde.

Source : Ministère de l'Ecologie, de l'Energie, du Développement Durable et de la Mer (MEEDDM)

Télécharger le document complet : la stratégie nationale de développement durable 2010-2013 : vers une économie verte et équitable (PDF - 2.1 Mo)

Notre commentaire : Ce beau document interroge sur plusieurs points :

Quel degré de consensus exprime-t-il ? Pourquoi n'est-il pas présenté devant la représentation nationale (députés et sénateurs) ? Comment s'articule t-il avec les autres stratégies et plans d'action de la communauté européenne et de chaque pays de la communauté ? Comment la volonté de le mettre en oeuvre réellement se manifestera-t-elle ?

Nous sommes très circonspects surtout depuis que nous observons l'écart persistant entre les engagements du Grenelle de l'Environnement et la réalité des actions menées :

Remise en cause de la nécessité de changement des pratiques agricoles, construction d'autoroutes et d'aéroport, remise en cause du développement de l'éolien, poursuite de l'installation d'incinérateurs un peu partout sur le territoire, plan algues vertes qui ne s'attaquent pas aux causes, subvention à l'industrie automobile et à la production d'automobiles polluantes (Diesel), etc. Les exemples sont très nombreux et hélas montrent que l'écologie de droite ou "servie à la sauce UMP" n' est toujours pas convaincante !

M.E.

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21 août 2010 6 21 /08 /août /2010 21:53
Le Monde 21-08-2010
Corinne Lepage : "La décroissance n'est pas porteuse d'espoir !"

LEPAGE-Corinne-2001.jpgSi l'écologie politique décide d'être le porteur de la décroissance et d'un projet défini comme avant tout anticapitaliste et antilibéral, alors elle ratera le coche de l'Histoire qui propose au monde multiple de l'écologie politique d'être le passeur d'une civilisation à une autre, et ce grâce à un projet de transition.

Les drames climatiques de l'été ont une fois de plus illustré ce que sera le monde du changement climatique avec ses tragédies individuelles et ses risques collectifs. Pour autant, le prochain sommet sur le climat à Cancún s'annonce très mal !

Certes, les menaces économiques font planer les plus grands doutes sur la reprise. La faiblesse de la création d'emplois, la persistance d'un chômage à deux chiffres et touchant, dans le monde entier, les jeunes de plein fouet rendent très pessimiste. Et pourtant, la transformation du système financier apparaît des plus modestes.

Mais le projet d'une décroissance, même qualifiée de prospère (ce qui est un oxymore du même ordre qu'une croissance durable), ne peut aucunement fédérer nos concitoyens et constituer un projet porteur d'espoir. D'ailleurs, les décroissants l'abandonnent progressivement. Dans un ouvrage, Prospérité sans croissance. La transition vers une économie durable (De Boeck, " Planète en jeu ", 248 p., 17 euros), Tim Jackson, de la Commission du développement durable du Royaume-Uni, propose d'abandonner le terme et l'idée pour proposer un autre modèle, proche de ce que j'ai appelé l'évolution soutenable.

Plusieurs changements sont nécessaires : il faut avant tout passer d'un modèle économique à deux dimensions (travail et capital) à un modèle macroéconomique à au moins trois dimensions, introduisant le principal facteur de rareté issu de la finitude de notre planète. Il est également indispensable de modifier notre rapport au travail. Dans le système actuel, le travail est avant tout un coût de production qu'il convient de réduire pour les entreprises, et le moyen d'assurer son existence, qu'il convient donc de conserver coûte que coûte, pour le travailleur.

En prenant la dimension sociale du travail comme un des éléments d'existence dans une société, on ajoute une nouvelle valeur à ce travail. Le travail devient une valeur sociale centrale du modèle macroéconomique qu'il faut à tout prix préserver, développer, voire partager. Mettre l'emploi au coeur des politiques permet de poser les questions de revenu disponible et de statut des individus dans la société. Mais il implique aussi de changer le rapport à l'entreprise et cesser les amalgames entre les entrepreneurs et le casino de la finance.

Il faut enfin changer notre manière de consommer pour aller vers un acte raisonné où le service rendu, à savoir la satisfaction du besoin réel, et la façon dont ce produit ou ce service est obtenu sont les principaux paramètres du choix.

La macroéconomie soutenable redonne au politique son rôle et ses droits, celui d'un investisseur de long terme, cependant que le capitalisme évolue vers un capitalisme entrepreneurial. Dans cette conception, l'idée de décroissance a disparu et laisse une place à l'innovation et au progrès, à la recherche d'un bien-être collectif, à de nouvelles activités en lien avec le territoire et la réhabilitation de l'entreprise en lieu et place de l'ingénierie financière.

A l'écologie politique de porter ce projet comme un projet de transition, qui respecte la réalité mais nous met en ordre de bataille pour un projet collectif capable de résoudre les contradictions dans lesquelles nous sommes plongés. A titre individuel, partagés entre les contraintes du quotidien et la prise de conscience des changements du monde. Mais aussi, à titre collectif, tiraillés entre les nécessités du court terme et de la compétition internationale (qui existe même si on ne peut que regretter la compétition entre Etats), et du long terme, de la justice intra et intergénérationnelle.

Notre vocation est de pousser à la construction, avec nos concitoyens et non dans des cénacles partisans quels qu'ils soient, d'un projet qui propose des solutions concrètes aux besoins de notre pays. Nous devons, coûte que coûte, réconcilier le possible et le souhaitable, faute de quoi nous rendrons impossible le souhaitable et détestable le possible.

C'est ici et maintenant que nous pouvons y parvenir, en nous dotant de nouveaux instruments de mesure, en dehors du PIB, en particulier sur l'évolution de l'emploi et celle du patrimoine collectif, humain et environnemental. Ils permettront de mesurer la soutenabilité, la santé, le bien-être, l'éducation... Ces instruments permettront aussi de changer l'évaluation des politiques publiques, de reconvertir les industries du XXe siècle et de favoriser le tissu des PME et non des " champions nationaux ". Nous faisons le contraire ! Ils permettront enfin d'aborder la question de la dette en différenciant l'investissement (y compris dans la plus grande richesse qui soit : les humains) du fonctionnement.

Nous devons faire du " bien-vivre " un objectif partagé qui repose sur la sécurité humaine. L'intégrité de la personne ne se divise pas et inclut la santé, la protection contre les risques naturels et technologiques, les accidents de la vie autant que la protection indispensable contre les violences en tous genres, à commencer par celles faites aux femmes.

Cette société de transition que nous devons porter, qui rend possible le souhaitable, n'est envisageable que dans le cadre d'une gouvernance publique et d'entreprise profondément rénovée, dans une République à laquelle nous sommes fiers et heureux d'appartenir, dans la reconquête de l'espoir d'une vie meilleure.

Corinne Lepage

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5 juillet 2010 1 05 /07 /juillet /2010 11:30
FRANCE CULTURE 02-07-2010
Jean Jouzel, climatologue,  Vice-président du GIEC et acteur majeur du Grenelle de l'Environnement, phase 1, revient sur les mesures votées par le parlement pour le Grenelle 2. Il aborde aussi la contribution climat-énergie (ex-taxe carbone ) enterrée, le rôle du congrès de Copenhague et la difficulté qu'a représentée la large ouverture des médias écrits et audiovisuels aux climato-sceptiques et à leurs thèses.

 

J.JOUZEL2.jpgJean Jouzel est ingénieur ESCIL, Docteur ès Sciences. Directeur de recherche à l'institut Simon Laplace à partir de 2001, Jean Jouzel est climatologue et glaciologue. II a commencé sa carrière au laboratoire de glaciologie et géophysique de l'environnement du CNRS, avant de travailler au laboratoire de modélisation du climat et de l'environnement du CEA. Il intègre par la suite le groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), qui siège au Grenelle de l'environnement en 2007, et préside le conseil d'administration de l'Institut polaire Paul-Emile Victor. Ses recherches sont exclusivement centrées sur la lutte contre le changement climatique. Jean Jouzel est l'auteur de plusieurs ouvrages : Planète blanche : les glaces, le climat et l'environnement en compagnie de Cl. Lorius et de D.Raynaud (2008), Le climat : jeu dangereux.Dernières nouvelles de la planète (2007) avec A. Debroise. . Il a dernièrement contribué à l'ouvrage du collectif Argos, 'Réfugiés climatiques'. 


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1 juillet 2010 4 01 /07 /juillet /2010 16:21
L'environnement en France-2010L’environnement en France - Édition 2010
Réalisé tous les quatre ans par le service statistique du ministère en charge de l’environnement, le rapport sur l’environnement en France constitue un document de référence. Il fait le point sur les composantes de l’environnement et les pressions que celles-ci subissent. La question environnementale est par ailleurs replacée dans son contexte économique et sociologique afin de bien la situer dans un débat public de plus en plus complexe.

Téléchargez le rapport intégral

Téléchargez la synthèse du rapport

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30 juin 2010 3 30 /06 /juin /2010 08:36
Corinne Lepage, présidente de CAP21, eurodéputée et avocate intervenait dans l'amphithéatre de l'Université de Lille, ce  mercredi 2 juin 2010 dernier, pour clarifier les différentes facettes du principe de précaution et se débarrasser de plusieurs malentendus.  Tout en ayant rappelé le contexte historique qui lui a donné naissance, Corinne Lepage s'est focalisé sur les enjeux scientifiques, économiques, politiques et philosophiques de ce principe de responsabilité et d'action. Elle est intervenue enfin pour expliquer pourquoi certains lobbys veulent s'attaquer au principe de précaution en cherchant à le faire éliminer du dispositif législatif à terme... La menace est bien réelle. M.E.

http://lille1tv.univ-lille1.fr/videos/video.aspx?id=cabd4a1c-af57-4c5e-9221-ecd88f819dd8

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5 juin 2010 6 05 /06 /juin /2010 12:09

Danger.jpgJacques Attali dans son rapport de la Commission pour  la libération de la croissance française déposé fin 2007 proposait de "repenser le principe de précaution". Celui-ci écrivait à l'époque : "La constitutionnalisation du principe fige la réalité et constitue un obstacle à la croissance".

Corinne Lepage, lors de son intervention à l'Université Lille 2, ce 2 juin 2010 nous a fait part de l'imminence d'un début d'attaque contre le principe de précaution. Or celui-ci n'a jamais été appliqué. C'est le principe d'action de prévention qui est souvent mis en oeuvre (les cas les plus récents étant la vaccination  et les mesures prises pour endiguer la progation de la la grippe H1N1 ou la suspension des vols à cause du risque présenté par le survol du nuage de cendres du volcan islandais).

Un certain nombre de députés viennent donc de demander la création d’une commission d’enquête sur les impacts du principe de précaution dans la société française. (Renvoyée à la commission du développement durable et de l’aménagement du territoire, à défaut de constitution d’une commission spéciale dans les délais prévus par les articles 30 et 31 du Règlement.) M.E.

Lire le détail de cette demande de création de commission d'enquête

Qu'est-ce que le principe de précaution ? par Corinne Lepage

Lire aussi le dossier réalisé par Le Monde le 8 mai 2010

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22 mai 2010 6 22 /05 /mai /2010 11:19
ALTERNATIVES ECONOMIQUES JUIN 2010

PASSER DE LA PRIORITE A UNE FINANCE MONDIALE DOMINANT L'ECONOMIE A UNE PRIORITE A LA PLANETE ET LA SOCIETE QUI Y VIT ...

Changer la hiérarchie des sphèresUne classe sociale dominante internationalisée, organisée et déterminée, contrôle l'appareil productif mondial et les Etats, pour les mettre au service de leurs intérêts. Ses membres, "la classe de Davos", constituent un monde où la finance détermine l'économique qui détermine le social. Et la planète doit s'arranger avec cela. Susan George appelle à inverser l'ordre des priorités.

Chapitre après chapitre, elle dénonce, dans un style très pédagogique, les folies de la finance et l'injustice des inégalités croissantes (de revenus, mais aussi d'accès à la nourriture et à l'eau). Elle pointe aussi les risques de conflit (inégalités, réfugiés environnementaux…).

Suit un long chapitre de propositions assez radicales: supprimer les marchés de produits dérivés, instaurer un écart de salaire maximum de 1 à 20 dans les entreprises, engager un keynésianisme environnemental de masse, nationaliser les banques, taxer les riches, attaquer les paradis fiscaux, etc. Inutile d'attendre une révolution mondiale ou de rêver d'abolir les marchés, nous a prévenus d'emblée la présidente d'honneur d'Attac. Face à la classe d'en haut, l'avenir dépendra de la mobilisation collective des classes d'en bas.

Christian Chavagneux

Leurs crises, nos solutionsLeurs crises, nos solutions, par Susan George, Ed. Albin Michel, 2010, 366 p., 20 euros.

 

 

 

 

 

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28 avril 2010 3 28 /04 /avril /2010 07:00

Sans-le-nucleaire-on-s-eclairerait-a-la-bougie.jpgDes OGM au nucléaire et au téléphone mobile, nous vivons à l'ère de la technoscience.
Soumise aux impératifs du marché, étroitement dépendante des lobbies industriels, cette alliance très efficace de science et de marketing a une tendance naturelle à confondre profit et bien public, précipitation et progrès. Cela suscite des expressions mille fois entendues mais rarement analysées: "le nucléaire ne pollue pas", "sans les OGM, la planète va mourir de faim" ou "les pesticides sont indispensables à l'agriculture".
Jean-François Bouvet, biologiste et grand amateur de chasse aux idées reçues, et Corinne Lepage, présidente-fondatrice de CAP21,  fondatrice de Terre Démocrate, eurodéputée et avocate spécialiste des questions environnementales, goûtent l'une après l'autre ces tartes à la crème indigestes. Non, on ne s'éclairerait pas à la bougie s'il n'y avait pas le nucléaire; non, l'insecticide Roundup n'est pas inoffensif; non, le changement climatique n'est pas d'origine astronomique, et non encore, le principe de précaution n'est pas opposé au progrès des techniques.
En une vingtaine de chroniques acides et très bien documentées, les auteurs mettent à bas les arguments douteux de ceux qui ont tout intérêt à ce que le citoyen se désintéresse des questions environnementales... A défaut de trouver rapidement autre chose, ces derniers auront désormais un mal fou à briller en société.

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24 avril 2010 6 24 /04 /avril /2010 07:00

Vers-la-sobriete-heureuse-copie-1.jpg

Pierre Rabhi: la "sobriété heureuse" pour enrayer le pillage de la planète

PARIS - Agriculteur, écrivain, figure singulière de l'écologie, Pierre Rabhi, 72 ans, plaide pour la "sobriété heureuse", seule issue pour enrayer le pillage de la planète et titre de son dixième livre à paraître en mars.

Q: Vous appelez à une "insurrection des consciences". Que se passe-t-il ?

R: On a ce miracle qu'est la planète Terre. Elle est née de toutes les improbabilités, une oasis dans un désert sidéral et astral. Les astronomes ont beau examiner l'espace, ils n'en trouvent pas d'autres. Or, plutôt que de la considérer comme une chance extraordinaire, nous la voyons comme un gisement de ressources qu'il faut épuiser, jusqu'au dernier poisson, au dernier arbre.

Nous sommes dans une espèce d'ébriété.

Q: Il semble y avoir aujourd'hui une prise de conscience croissante des enjeux environnementaux. Vous en réjouissez-vous ?

R: On parle beaucoup, on fait beaucoup d'écume. Mais la juste mesure de l'enjeu n'est pas suffisamment intégrée comme étant décisive. L'urgence est là. Il faut arrêter le pillage. Si nous ne prenons pas des résolutions fortes et déterminées, nous allons disparaître.

Je suggère qu'on installe des tableaux de bord dans les villes qui disent tous les jours combien de forêts ont disparu, combien de terres arables ont été ravagées, combien de poissons ont été décimés.

 

Lire la suite

 

P.Rabhi.jpgAgriculteur, écrivain et penseur français d'origine algérienne, Pierre Rabhi est un des pionniers de l'agriculture biologique et l’inventeur du concept "Oasis en tous lieux". Il défend un mode de société plus respectueux des hommes et de la terre et soutient le développement de pratiques agricoles accessibles à tous et notamment aux plus démunis, tout en préservant les patrimoines nourriciers. Depuis 1981, il transmet son savoir-faire dans les pays arides d'Afrique, en France et en Europe, cherchant à redonner leur autonomie alimentaire aux populations. Il est aujourd'hui reconnu expert international pour la sécurité alimentaire et a participé à l’élaboration de la Convention des Nations Unies pour la lutte contre la désertification. Il est l’initiateur du Mouvement pour la Terre et l’Humanisme. Il est l'auteur de nombreux ouvrages dont Paroles de Terre, du Sahara aux Cévennes, Conscience et Environnement ou Graines de Possibles, co-signé avec Nicolas Hulot.

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Partenariats

CAP21 Nord Pas-de-Calais participe aux collectifs  régionaux :

- Sortir du Nucléaire,

- Contre l'exploitation des gaz de couche.

  • A Lille au Collectif "Place aux piétons et pour la mobilité douce"  pour une piétonnisation de la Grand Place de Lille dans un contexte de mobilité incitant à l'utilisation de transports doux (marche, vélo,...).
  • A Lesquin au Collectif "Lesquin Objectif 0,6" dans le cadre d'un combat des habitants pour une meilleure protection vis à vis des ondes électromagnétiques.

 

Lecture recommandée

CAP21 NORD PAS DE CALAIS vous incite à lire ces revues de grande qualité :

Revue-Durable-CH-.gif

 

 

Alternatives Economiques